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 Venez débattre ROC ! [Candidature Royale ] Icie

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icie




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Date d'inscription : 29/03/2007

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MessageSujet: Venez débattre ROC ! [Candidature Royale ] Icie    Venez débattre ROC ! [Candidature Royale ] Icie  Icon_minitimeVen 28 Sep - 12:17

Sur les terres de la comtesse, de sa famille et de ses proches, le branle bas de combat avait commencé depuis longtemps.
Une candidature royale, ce n'est pas rien et tout le monde était sur le pied de guerre pour répondre aux questions du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest.
Une place publique et beaucoup, beaucoup de tonneaux !
Des veaux entiers grillaient pour restaurer ceux qui viendront écouter.
Les tables étaient prêtes


Adonc, mettons cette affiche là bien en vue. Que chacun puisse s'y référer pour poser ses questions.
Non, à droite, de ce côté, sinon ils vont être caché à notre vue et l'on risque de ne pas voir ceux qui questionnent



Icie c'est ROC !

RIGUEUR OUVERTURE COMPETENCE


Dernière édition par icie le Jeu 25 Oct - 11:25, édité 1 fois
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icie




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Date d'inscription : 29/03/2007

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MessageSujet: Re: Venez débattre ROC ! [Candidature Royale ] Icie    Venez débattre ROC ! [Candidature Royale ] Icie  Icon_minitimeMer 24 Oct - 13:48

Citation :


~~~~~ ICIE, là et pas ailleurs ~~~~~
Venez débattre ROC ! [Candidature Royale ] Icie  Iciecampagne
RIGUEUR ~~~ OUVERTURE ~~~ COMPETENCE

Le Souverain de France est l’autorité suprême du Royaume. Nul autre hormis celle du Très Haut ne lui est supérieur.
Nous le répétons encore et encore. C’est par la volonté des Grands Electeurs et d’une partie de son peuple qu’il doit son autorité. S’il peut et doit écouter les conseils prodigués au sein des institutions royales ou au sein de sa Maison Privé, il détient la décision finale et celle-ci ne peut être contestée.
Notre passé de Dauphine et Régente de France et nos expériences au sein de divers alliances, de notre comté ou des institutions royales nous a conforté dans cette attitude.
Cette autorité se doit d’être ferme et à l’écoute de tous ses peuples qu’ils soient du Domaine Royal ou des Provinces.

Est-ce trop demandé que de proscrire la corruption et les arrangements « entre amis » pour qu’en France ceux qui ont compétences et expériences en soient récompensés, écoutés et servir la Couronne et par la même, les peuples de France ?
A ceux qui espèrent user de leurs voix électorales pour se rassurer sur l’assise de leur poste ou tentent d’obtenir titres et faveurs, nous dirons : montrez nous d’abord vos compétences et ce que vous avez apporté à la France et seulement alors, nous aviserons.

Depuis bien longtemps sont écartées ou ont été écartées des personnes au savoir et à l’expérience importante, tandis que d’autres cumulent les postes clés créant ainsi un malaise au sein des provinces de France.
Nous avions déjà dénoncé ces pratiques qui privent le Souverain d'autres visions et d'idées nouvelles.
La nouveauté fait peur ? Ce monde évolue et si nous sommes attachés à la Royauté, il n’est pire qu’un Souverain qui s’enracine dans les anciennes traditions et n’entend pas les grondements de son peuple.

Alors même que le trône de France est soumis aux choix des Grands Electeurs, il n’est pas concevable que l’on puisse se croire siégeant à vie pour lui offrir son conseil.
Loin d’être démagogue un juste équilibre est à rechercher.

La paix, la reconstruction des voies commerciales notamment et des grands travaux, étaient déjà dans nos objectifs lors de précédentes campagnes. C’est toujours le cas.

Nous présentons quelques points qui nous semblent essentiels mais il est certain que cette liste n’est pas exhaustive.

A: Du Domaine Royal et des Provinces vassales de France.

I - Domaine Royal

Sans pour autant omettre les soucis que rencontrent les Provinces Hors du Domaine Royal, la priorité sera porté au rétablissement économique du Domaine Royal. Il a été porté à notre connaissance des situations alarmantes qui devront être résolues même si pour cela, nous sommes amenés à renforcer les rangs de ceux qui œuvrent à son rétablissement.

Avec le Conseil du Domaine Royal, un audit sur les comptes des provinces du DR est nécessaire, tout comme une définition des priorités avec le Surintendant aux finances ((commerce, dettes, arsenal,.......).
Nous veillerons, au sein du Domaine Royal à ce que la cohésion et l'interaction passent par la transparence. Il n'est pire que les rumeurs, fondées ou non, pour pourrir une entente et détériorer une situation déjà difficile.
De sa bonne santé dépend aussi la défense de la France et de ses côtes. Celle-ci ne peut pas seulement s’appuyer sur des provinces vassales fidèles au risque de les mettre parfois en difficulté financières et d’engendrer de nouvelles dettes.

II – Provinces vassales hors Domaine Royal

Nous tenons à réitérer qu’il appartient à chaque province :
- de décider de ses choix politiques
- d’assurer son intégrité territoriale tant sur terre que dans les limites de ses eaux maritimes
- d’œuvrer avec sagesse au bien être de son peuple
- de ne pas mettre en péril la sécurité du Royaume de France
- de respecter les devoirs entre vassaux et suzerains.
Cependant, nous assumerons notre rôle de protection envers les Provinces en difficulté si leur noblesse, leur peuple ou leur gouvernement en font la demande.

Nous nous efforcerons de nous rendre dans chacune des provinces en difficulté. Non pas pour y porter le fer mais pour rencontrer leur peuple, notables et dirigeants. Nous ne serons pas une souveraine confinée dans sa tour d'ivoire.


III. Des Provinces qui se prétendent indépendantes.

Nous voulons croire en la diplomatie mais aussi en la justice. Bien des causes peuvent conduire à ces actes mais les critiques ne peuvent être constructives que s'il leur est donné la possibilité de s’exprimer comme tous comtés et duchés en Royaume de France. Nous entendons donc les recevoir en audience privée en présence de nos diplomates respectifs tel que défini sur le traité du l’Aventin.
Qu’elles sachent toutefois, que si nous prônons l’écoute, nous veillerons à ce qu’il n’y ai nulle atteinte à la sécurité des autres provinces.


B : Communication et échange

Pour qu’en ce Royaume, tout un chacun sache que la gouvernance du Royaume et les offices qui lui sont rattachés ne sont pas que lieux de frivolités où la tenue d’un poste n’est qu’un titre à ajouter.

- Le Grand Maitre de France aura la charge d’établir un référenciel et un résumé des débats abordés au conseil des Grands Feudataires.
- Au même titre qu’il existe un compte rendu des travaux de la Noble Assemblée des Pairs, le Secrétariat d’Etat en collaboration avec le Grand Maitre de France, présentera un rapport mensuel sur les Grands Offices Royaux (Chancellerie, Prévôté, Ambassades Royales, Hérauderie, Cabinet des Finances, Connétablie, Maison Royale, etc…).
- Révision de la Charte Royale.
- Patentes de reconnaissance, suivant statut et dossier, des Guildes marchandes, Jurandes, Marchands, Maitres Artisans ou Hanses.

C: Diplomatie

Bien souvent contestée par les militaires, elle est pourtant le lien essentiel entre les provinces, et les états étrangers.
Une porte qui doit rester ouverte en toute circonstance pour débloquer une situation dangereuse.
C’est grâce à elle que s’obtient un équilibre durable. Assujettir des peuples n’a jamais été une solution qui perdure, bien au contraire. La force ancre dans les peuples des idées de revanches et d’amers constats qui empêchent tout progrès.



I -: Diplomatie interne au Royaume de France
Il est primordial d’accentuer nos efforts dans ce domaine en terre de France par l’écoute et la concertation de tous les chanceliers ou chambellans des provinces vassales.
Leur rôle ne s’arrête pas à la rédaction d’un traité, il est également le relai de la politique extérieure de son comté/duché. En cela il est aussi un représentant particulier auprès de la diplomatie interne, dirigée par le Secrétaire d’Etat. Il ne supplante pas la parole de son suzerain au Conseil des Grands Feudataires, il en est simplement la prolongation et demeure sous sa seule autorité.

Les chanceliers des Alliances seront, pour peu que les Alliances qu’ils représentent soient suffisamment importantes, comme leurs émissaires.

II - Alliance du Ponant
Parce que nous avons la volonté de respecter les termes d’un traité qui a mis fin à de longs mois de souffrances et d’éviter tout incident majeur qui pourrait nuire à la sécurité de nos peuples et à leur entente, un représentant de cette alliance sera reçu en audience privée.

III - Diplomatie avec les Royaumes/Empires étrangers
La sécurité de nos frontières, le développement de notre commerce et de nos cultures sans oublier l’exploration de territoires inconnus au-delà des mers sont fondamentaux.
Nous encouragerons les relations avec le Grand Duché de Bretagne, allié de nos vassaux dans le cadre du traité du Ponant. Le traité du Mont Saint Michel présente des failles que l’amitié entre nos peuples se doit de corriger afin que soit évité des incompréhensions ou des conflits inutiles.

Nous seront vigilants aux guerres qui se livrent sur les territoires voisins de Notre Royaume. Pour garantir notre propre sécurité, sans pour autant nous ingérer dans les affaires internes de nos voisins, nous proposerons, éventuellement une médiation entre les belligérants.

IV - Diplomatie auprès de L’Eglise Aristotélicienne
Nous souhaitons que le concordat royal soit révisé, amélioré, pour tenir compte des évolutions et réalités actuelles. Nous nommerons également un ambassadeur permanent auprès de Rome.


D: Institutions royales


I –Dauphin de France
Le(La) dauphin (e) de France a charge d’assister ou de remplacer le souverain. En cela il doit être au courant des affaires du Royaume mais n’a pas autorité à prendre des décisions tant que le trône de France est occupé.
Parce qu’il nous importe de garantir l’aboutissement de nos projets, nous le ou la nommerons des le début de notre règne. Sa mission lui sera clairement précisée en collaboration avec le Grand Maitre de France.


II – Finances Royales
Nous voulons des le début du règne un audit sur les Finances royales.
- La clarification des emprunts et dettes tant envers le Domaine Royal qu’envers les Provinces de France.
- Les calculs d’imposition du Domaine Royal et leur communication au conseil Royal qui a parfaitement le droit de connaitre ce qu’on lui réclame.
- Clarification sur le calcul du prestige.
- La répartition du budget : investissements, prévisions et en cours
- Avoir un compte rendu des conseils donnés en Domaine Royal comme aux Provinces hors des DR par les intendants aux Finances.


II - Hérauderie
Nous rappelons le devoir de neutralité de l’hérauderie royale que ce soit dans le traitement des dossiers que dans les délais impartis pour le faire.
Un audit sera demandé au Grand Maitre de France afin de faire le point sur les dossiers en cours et les éventuels litiges. Nous sommes conscients du travail fastidieux et long des hérauts en généalogie, notamment, souvent seuls face aux reproches sur des délais trop longs. Mais à l’heure où des provinces contestent la validité de l’hérauderie royale, celle-ci doit se montrer sans tache.
Si les dysfonctionnements sont avérés, nous prendront des mesures en conséquence. Nous étudierons la possibilité d'hérauderies régionales.

Les régnants des provinces présentant des dossiers d’anoblissement ou d’élévation, pourront, s’ils le souhaitent, défendre leur point de vue auprès du collège héraldique. Nous savons le poids d’une patente mal rédigée et a contrario de celle qui présente des qualités surfaites. Les arguments pour les défendre ne suffisent pas à un simple courrier, la connaissance du contexte est nécessaire à une information objective.

Nous souhaitons pour un hérauderie plus performante, des procédures plus simples et surtout des délais moins longs.

Nous encouragerons l’ouverture par d’anciens hérauts, d’une formation à l’examen d’entrée à l’Hérauderie royale. Celle ci ne peut être réservée qu’aux seuls chevaucheurs.


III - Pairie
Nul ne doit se croire assis ad vitam aeternam dans les institutions royales. Nul ne peut non plus, se croire au dessus du souverain lui-même en bafouant son autorité, quelque soit son ancienneté ou les services rendus à de précédents souverains.

L’accès à cette haute institution doit respecter un certain équilibre afin que nulle province ne se sente lésée ou écartée systématiquement par le jeu de copinage ou d’intérêts bien lointain de ceux du Royaume. Bien que les pairs de France soient, à l’image de la Curia Regis, indépendants des provinces dont ils sont issus, il est anormal que soit surreprésentées des provinces, alors que d’autres, sont totalement absentes ou voient leurs dossiers refusés pour des motifs dont on ignore tout. Tout refus se doit être justifié et notifié au candidat dans un délai raisonnable.

Nous rappelons également que le cumul de Grand Officier et Pair de France est nuisible à l’accomplissement des postes qu’ils occupent. S'Il n’est déjà pas possible d’être à la fois Pair et régnant d'une province par souci d’objectivité mais aussi, nous le pensons, par l’impossibilité d’assumer correctement ces deux postes, il devrait en être de même avec un Grand Office.

Il y a une contradiction entre le fait de prétendre être au dessus des affaires provinciales en se faisant l’apôtre d’une certaine objectivité et rejeté des candidatures parce que la province a fait des choix politiques éloignés des idées « officielles » malgré l’expérience et la qualité des personnes présentées. Une province est faite de diversité, ce devrait être le cas aussi dans toute institution royale. C’est sans doute caricatural mais ce sont les raisons qui font que la pairie est perçue dans l'opinion des peuples comme un vase clos, passéiste et conservateur.

La possibilité d’un renouvellement par tiers des pairs tous les semestres sera étudiée avec avis requis auprès des Grands Feudataires. La pairie ne pouvant s’auto désignée ce choix incombera au souverain en accord avec le dauphin, s’il est nommé, et le Grand Maitre de France.


IV - Cour d’Appel
Nous savons combien la rédaction d’un coutumier peut être difficile et engendrer des interprétations. La CA n’a pas pour rôle de s’insérer dans les orientations des justices provinciales. Cela nuirait à son objectivité et au recul nécessaire à une bonne justice. Nous avons noté des efforts de communication, toutefois nous pourrions étendre son rôle aux conseils et échanges apportés dans le cadre d’un «Collège judiciaire ».
Ce « Collège Judiciaire » réunira au sein de la Grande Chancellerie de France: membres de la Cour d’ appel, avocats et représentants judiciaires des différentes Provinces du Royaume de France.

Il aura pour mission, entre autre :
* Etude et instauration de CA décentralisées par régions.
* Formations éventuelles, sur demande, des instances judiciaires provinciales

V - Des pupilles de France
Nous donnerons à leur statut particulier une véritable reconnaissance.



E: Eglise Aristotélicienne

Le souverain est garant de l’unité du Royaume, il tire son pouvoir du Créateur, il n’en est pas le représentant sur Terre. Seule Sa Sainteté le Pape peut prétendre à cette image. Nous attacherons toute notre attention à organiser rapidement après notre élection la cérémonie du Sacre, symbolisant l’alliance entre le Royaume et Dieu, et garderons a l esprit durant tout notre règne l’importance de respecter le serment prononcé.
Nous considérons que le Clergé est un Etat constitutif du Royaume au même titre que la Noblesse et le Tiers-Etats. Nous considérons également que l’ action quotidienne des prélats, curés, et diacres aristotéliciens dans la propagation de la sainte parole et dans l’enseignement des vertus aristotéliciennes pour une vie meilleure au sein de la cité, revient également à servir l’intérêt commun au sein du Royaume. C est pourquoi notre objectif sera de resserrer les liens entre le Royaume et ses clercs.
Le Très Aristotélicien souverain français se doit d être un exemple. Nous l’attendrons également de nos conseillers et officiers. Nous soutiendrons l’Eglise dans la lutte contre les hérésies pour garantir la paix entre les aristotéliciens.
Afin d être justement conseillée, nous pensons créer une charge de pair ecclésiastique, dont la candidature sera proposée par l’ Eglise.


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